rendez-vous douteux

Alet sorti de la ville, toujours envelopper de son long manteau. De la où il était il ne voyait que le haut de Helgrind et les lumières de la ville dissimulaient les étoiles. La lune ronde et pleine flottait dans le ciel noir.
Alet s'avança, entendit un bruit derrière lui. Il jeta son couteau dans la direction du bruit. Il mengerait du lapin ce soir.
Il attendait son "client".

Le soir, les ombres dansantes...
Leurs murmurent, à jamais à présent. Leurs murmures...
Elles sont calment, semblent anxieuses. Ont-elles bien choisi ? C'est bien la première fois que les voix doutent...
Il ressent leur trouble comme une bénédiction. Son esprit s'en voit moins tourmenté.
Que la brise lui paraît douce... C'est une caresse... Dieu, c'est une caresse ! Quelqu'un lui a-t-il déjà témoigné de l'amour ? Il ne sait plus, mais cette sensatoin n'est pas inconnue...
...Il ne sait plus...
Lui prennent-elles tout, jusqu'à ses souvenirs ?
Il ne voit que des images, toujours les mêmes, insistantes. Il les voit puis elles s'estompent, remplacées par des murmures, des épines de douleur.
Il les voit ! Mais il n'a jamais le temps de se souvenir !

Torture... Elles me torturent...

La pente est difficle à gravir, ses muscles sont si endoloris... Il n'a plus de force, il se sent rongé.

Pourquoi mes forces... Pourquoi me quittent-elles...

Ses jambles le lâchent, il tombe à genoux. Ses cheveux collent à son front. Un bourdonnement dans son crâne, le monde qui s'obscurti davantage.
Il comprend. Elles ne sont plsu sûres d'elles. Il comprend. Mais il n'a aps gravi ce sentier pour rien.
Non, il ne se laissera pas faire... Malgré la douleur, malgré la fatigue qui soudain l'accable, il rampe, il se tire. Il monte pour rejoindre l'Autre...

bonsoir messieur si vous vous voulez que nesgul(mon dragon) vous fasse une petite biss il est tout feu tout flamme

[non laping s'il te plait ne t'incruste pas... Ou alors pas pour l'instant. Sinon on ne fera jamais avancé l'histoire.^°]

Alet apperçu Zayth s'approcher. Il s'avança vers lui, vérifia qu'ils étaient bien et dit:
Zayth, fils des morts et pères des agonisants, souhaite-tu souffrir, pleurer et ne jamais rire. Souhaite-tu avoir le pouvoir, souhaite-tu le contrôler et tuer aussi facilement qu'elles te contrôles?

Fils des morts… Pères des agonisants... Qu’est-ce que ces paroles…

Une douleur dans son crâne. Elles refusent, elles ne veulent pas. Elles refusent… La fièvre, la douleur dans son crâne. Et cet homme agenouillé devant lui, cet homme qui attend patiemment une réponse.

Comme j’ai mal…

La sueur coule de ses tempes. C’est de douleur qu’elle tente de s’imposer. Ho, elles ont peur, il le sent. Elles ont peur et elles veulent le faire obéir.
Est-ce folie ? Il sourit… C’est si bon d’être fou ! Il a le moyen, le moyen de se débarrasser d’elles. Le moyen…
Jamais plu alors, jamais plu il n’aura à subir leur courroux. Non, bien au contraire. Il l’emploiera, il utilisera leur colère pour s’en faire une force. Mais quels sacrifices devra-t-il faire ?

Ne plus sourire… Ne plus rire… Est-ce là le prix à payer ?

Elles ‘agitent, elles frappent. La solution ! Il a la solution ! Plus de douleur, si ce n’est pour la rage. Redevenir lui-même, regagner ses souvenirs.
Son regard brille, il luit d’étonnement, de gratitude. C’est simple, si simple de se débarrasser d’elle ! Simple… Peu importe les sacrifices… Il veut qu’elles partent, que leur présence ne soit qu’ombre.
Elles resteront ses compagnes, sa source de puissance. Elles seront là, mais ce sera lui qui dirigera.
Il sourit, il sourit davantage. Cela fait si longtemps ! Il sourit, il est soulagé… Une porte s’ouvre, une porte sans douleur…

« Leur présence sera passé… Ma douleur le sera-t-elle aussi ? Que restera-t-il de moi ? »

La proposition le tente, énormément même. Il se fiche de pleurer, ses larmes seront délivrances… Il attend juste une réponse, savoir si son humanité restera la même, s’il sera homme plutôt que victime…
Leur bourdonnement s’accentue. Comme il est doux de les savoir tremblantes .

[hrp] laping si tu veut t'incruster, écris qql chose de correct. Tu ne peux pas attérir comme ça pof ! Un peu de description pour expliquer ce serait sympas, on est pas dans ta tête :p [/hrp]

[personne n'a dit que j'étais à genou:p:007: ]
Alet vit la loque d'homme en face de lui hésiter au point de pleurer. Son regard exprimait la rage et en même temps la jubilation.
Deviens ombre, deviens leurs maître, devins celui qui décidra de son destin et de celui de ses proies, deviens sorcier, deviens celui que tout le monde craint. Deviens ombre!

[hrp] Oui je sais mais je le voyais comme ça, décris plus la position et els mouvements de ton perso, donne lui une vie ^^ [/hrp]

Deviens ombre... Deviens ombre... Devenir... Une... Ombre... ?

Il plit les jambes, redresse mollement ses épaules, agenouillé au sol. Il sent la douleur, il sent les tremblements. Mais déjà, dans sa tête, elles s'intègrent, lui obstruant les pensées, l'empêchant de songer.
Tout se contredit, il ne sait plus. Il entend les voix, leurs voix qui lui imposent de se taire, de refuser... Elles ont des arguments... Il hésite... C'est comme si tout son corps y croyait...

Qui... Croire... Comment... Savoir ?

Non... Non! Il secoue la tête. Il ne sait plus, il perd la tête. Se décider, rapidement. Un brin de lucidité, un brin de pensée. Une larme coule, suit la ligne de son nez...

La tête, la tête... Je perds la tête. Me décier... Je... Je...

" Veux devenir ombre... "

[ouais t'as raison]

Alet posa ses deux mains sur les tempes de Zayth. Il cria en ancien langage puis en Urgal: Ombres!!
S'il avait eu un coeur, il aurait battu très vite. Alet envoya des images de bonheur au nouvel ombre. Si tout avait marché elles devaient lui inspirer du dégout.
Que ressens-tu?

Tout s'embrouille... Qu'est-ce que ces images qui parcourt son esprit ? Où est passé le tourment ? Des images, tellement de joie... Des images... Est-ce les siennes, est-ce ses souvenirs ?

Qui sont ces gens ? Les connais-je ?

Des tambours dans son crâne, encore. Des tambours, incessants. Boumboum... Boumboum... Boum... Boum...
Ils frappent, ils cognent. A l'incrédulité cède la rage. Non, ce ne sont pes les siens, ces souvenris ne lui appartiennent pas. Non.
Il ets prit de tremblements, son esprit lui paraît tellement souillé. Il entend des mots, il prend conscience de mains sur ses tempes.
Des voix dans sa tête... Des images dans son esprit.

C'est mon esprit ! Laissez-le moi! C'est le mien !

Il se sent violé, possédé de toute part. Les alrmes sèchent sur ses joues. Quelle est cette sensation dans son ventre, quel ets ce vide dans son coeur ?

Laissez-moi ! Laissez-moi !

Il s'énerve, se redresse brutalement et repousse l'homme. Il le repousse, la haine et le dégoût tireent ses traits. Il se redresse, chancelant. Il n'y a plus que murmures dans son crâne, murmures que la colère efface.

"Gardez vos belles images pour vous ! Le monde n'est que cruauté ! Il payera ma douleur !"

Il sent le monde vaciller autour de lui. Il a la nausée...
Tout lui paraît si lent...
Un battement... De... Paupière...
Il ne se rend aps compte de ce qui lui arrive. Tout est étrange.
Tout... Tan... gue...
Il tombe, les mains tremblantes, l'esprit fou.

[color=blue]Alet fit ce qu'il pouvait faire de plus ressemblant à un sourire. Il attrapa un lapin et l'égorgea devant Zayth.
Souhaites-tu que je t'apprennes tous les secrets?
Il sortit son épée.
[color:bd40=#0000ff:bd40]Ou peut-être préfère-tu faire ton chemin seul au quel cas nous deviendrions rivaux. Cela pourrait être dommage pour toi.

EDIT: excuse j'avais pas fais gaffe que tu t'étais évanoui.

Alet vit Zayth s'évanouire. Décidément il était sensible celui-là. Alet le réveilla en lui piquant le pied avec une dague. Il cracha par terre et attendit que Zayth reprenne ses esprits.

Ô mon crâne... J'ai si mal...

Des milliers d'épines lui piquaient la tête, s'enfonçant, toujours plus pronfondément, dans son esprit. Sans arrêt...
Il ressentait un changement en lui, une haine jusque là inexprimée pour ce monde, pour le sien. Une haine et une colère qui ne lui était pas habituelles, qui lui faisait tourner la tête.
Son évanouissement ne fut que défilé d'images toutes plus obscures ques les autres.
Il eu la vague impression qu'une odeur de sang flottait autour de lui puis...Puis... Une douleur au pied.
Il ouvrit les yeux, son pied... Son pied !
Il foudroya Alet du regard. Son pied en sang. Son sang à terre. Sa chair meurtri.
Il se releva, le regard haineux.
Il se tint debout, au mieux.
Il écouta et approuva.
Il ne pouvait plus aller en arrière...

Souhaites-tu que je t'apprennes tous les secrets?
Il sortit son épée.
Ou peut-être préfère-tu faire ton chemin seul au quel cas nous deviendrions rivaux. Cela pourrait être dommage pour toi.

Pourquoi me... Menace-t-il ?

L'homme s'était dit sauveur, il s'était montré guérisseur de ses tourments.Mais voilà qu'il sort son épée, le menace...
Au fond de lui, de la colère... Il n'y a plus de douleur ou, du moins, il ne la ressent pas telle quelle...
Il ne se battra pas, il ne sait pas de toute manière... Il n'a pas d'arme.
Au fond de lui pourtant, il le ressent... C'ets comme un besoin, c'ets étrange... ça lui dévore el coeur...
C'etsd e la haine, de la haine et de la colère. De la rage.
Il n'y a plus les voix, ou à peine. Elles en sont plus là. Il n'y a plus de douleur. Plus de souffrance.
De la colère. De la haine.

Dieu... Que... Que... m'arrive-t-il ?

" Vous m'avez dit... Que vous m'apprendriez.... Vous m'avez dit... Que je connaitrais le secret... Alors, je ne evux pas me battre... "

Ton apprentissage commencera lorsque tu m'auras retrouvé.
Un gros nuage,
sur un ciel tourmenté,
au fond diparais,
une pointe, descoquillages.
Alet partit.

Ces mots. Une énigme ? Un indice ?
Ces mots... Une mélodie dans son esprit...
Ces mots...

Un gros nuage.

Les pas d'Alet déjà sur le sol.
Ses pas... Ses mots.

Il lève la tête au ciel. Il se sent autre... Une brise sur son visage... La même. Mais l'impression de caresse de naît plus dans son esprit.

Un ciel tourmenté...

Pleuvera-t-il ?
Il ne sait pas. Mais c'est si bon, ce vent, ce vent sur son visage.
Il se sent fort.
Il se sent maître de lui.

... Au fond disparaît ...

La douleur est force.
Il le sent.
Il a mal.
Mais ce mal est pouvoir.

... Une pointe ... Des coquillages ...

Elles murmurent... Elles murmurent...
Quel doux chant !
Leurs lamentations... Leur erreur.
Sa bénédiction.

Quel est ce lieu ?

Il ferme les yeux, plonge en lui. Il ferme els yeux. Il ne connaît pas la région.
Oh oui... Elles murmurent... Qu'elles murmurent pour lui !
De sa pensée, il les soumet.
De sa pensée...
Jamais encore, jamais il n'a agit comme ça...
Jamais et pourtant, à se sentir maître, il éprouve un certain plaisr...
Il sait à présent.
Il sait où aller.

> Parti

[Pour les curieux voici la résolution de l'énigme
un gros nuage->une voile de bateau
un ciel tourmenté->la mer
au fond disparait->il s'éloigne de la côte
une pointe->une ile des coquillages->une plage
tout ça pour dire d'aller sur une ile]